Ségolène Royal

1194 jours avant la fin de Bruni

Ségolène Royal

D’abord il y eut la « bravitude » ! Cela ne suffisait-il pas ? Pourquoi donc vouloir aller vers le « côté obscur de la force » ? Parce que très quand sincèrement, la « ridiculitude » vient s’ajouter après la « défaititude »  à la « grotesquitude » avant sans doute la « désolitude » et peut-être un jour « l’oublitude », avant qui sait le « miracle de la résurectionitude »… donc, très sincèrement, il est sans doute temps que la « ségolénitude » prenne le recul qui s’impose ! Un peu de repos, loin des caméras et de tout ce qui bouge dans le monde, de la prestation de serment d’Obama au resto du cœur de Bouffémont ou d’ailleurs ! Du repos pour  Ségolène, du repos pour la gauche qui aurait bien besoin de reprendre un peu son souffle et un peu d’espoir ! Il faut par ailleurs que sainte Ségolène, capte bien que si 47% des voix se sont portées sur elle en mai 2007 (dont la mienne), ce n’est pas tant par idéal ou par « conviction projectuel », mais infiniment plus par rejet de son adversaire. Nous sommes probablement très nombreux à avoir voulu éviter à tout prix (fut-ce par le vote Royal) qu’un compteur identique à celui en haut à droite de cette chronique, puisse exister ! Donc nous sommes nombreux à avoir fait preuve, à défaut « d’enchantitude » de « responsabilitude » en votant pour la moins pire des deux candidats ! Que Ségolène, mette donc un frein à sa « pugnacitude » avant qu’elle ne devienne « âneritude » et qu’elle concoure en prenant de la « distancitude ». Cela ne pourra qu’encourager la gauche a redevenir de gauche et les électeurs et militants de gauche à reprendre espoir en l’avenir !

Bloc, le 27 janvier 2009