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Chroniques quotidiennes
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24 septembre 2007

Marlbrough s'en va t-en guerre

Marlbrough s’en va …

Difficile pour l’ami Kouchner de faire son trou dans le gouvernement ! Difficile par l’omni présence de son patron Sarko 1er (d’habitude le patron d’un ministre c’est le premier ministre mais depuis peu, ce n’est plus le cas !). Difficile aussi d’exister dans un gouvernement de droite alors qu’en principe, du moins à la base, on est de gauche ! Difficile au point même que lorsque l’on parle de test ADN pour les regroupements familiaux, Kouchner (qui a certes attendu que Fadéla Amara soit la première à le dire) ne peux taire son désaccord ! Difficile même de tenir ce poste de ministre des affaires étrangères qu’il a pourtant tellement souhaité avoir ! Difficile car pour ce bavard impénitent qu’est Kouchner, pour ce trublion qui a toujours un mot à dire sur tout, même quand il n’a rien à dire, difficile de s’accommoder de la diplomatie et à sa prudence de tous les instants où chaque mot est pesé avant que d’être prononcé, où chaque sourire est analysé, où chaque durée de poignée de main est un signe ! Difficile, et même trop difficile pour notre « French Doctor » qui doit décidemment souffrir de tant se retenir ! Il souffre tellement que de temps en temps il se lâche, c’est ainsi qu’il y a quelques semaines il déclarait que la démission du premier ministre irakien était un préalable au retour de la paix, pour explique le lendemain que l’on n’avait pas bien compris sa pensée, présentant au passage ses excuses aux irakiens. De même, dans un élan verbal dont il a le secret, il vient de déclarer à propos du nucléaire iranien qu’il fallait se préparer à la guerre, pour, devant le tollé suscité par cette intervention, expliquer le lendemain que l’on n’avait une nouvelle fois mal traduit sa pensée ! Force est donc de constater que la pensée de Kouchner devrait imposer un décodeur afin d’éviter à tout le quai d’Orsay de faire preuve d’imagination permanente pour rattraper ses bourdes. Mais que Kouchner se rassure, succédant à Douste-Blazy, qui n’avait de pensées sur rien et sur personne, il ne peut guère faire pire !

…t-en guerre…

Bloc, le 24 septembre 2007

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