Policiers

1080 jours avant la fin de Bruni

Policiers ?

Félicitations, sincères félicitations à ces 6 braves policiers qui n’écoutant que leur courage ont su mettre fin aux agissements d’un dangereux gang de malfaiteurs qui sévissaient en banlieue parisienne. Si tant qu’une décoration ait du sens, ces six policiers là méritent à l’évidence d’être reconnus comme le dessus du panier. C’est en attaquant le mal à la racine qu’on pourra enfin éradiquer le vice et la délinquance qui mettent à mal nos villes et nos campagnes. La démocratie, la vraie, ne s’embarrasse pas de préjugés ma    l placés, la première des libertés ne commence-t-elle pas ou s’arrête les bandes de malfaisants qui empêche la société de vivre et de respirer librement ? La sécurité n’est elle pas le premier des socles sur laquelle la liberté repose ? Madame Alliot-Marie voit enfin ses efforts récompenser et les premiers résultats engrangés. Pour être plus précis, il convient ici de rappeler les faits qui à n’en pas douter marqueront l’avenir de notre belle police : la semaine dernière six policiers n’écoutant que leur courage ont mis la main sur deux dangereux bandits qui venaient, de commettre un délit. Ils sont donc intervenus en flagrant délit. Rentrant dans une école à six, ils ont appréhendés les deux auteurs présumés d’un vol de bicyclette, l’un âgé de 10 ans s’est avéré après interrogatoire innocent et l’autre son aîné d’un an, a reconnu les faits ! En s’attaquant ainsi au petit banditisme avant qu’il ne devienne grand la police s’honore ! Bref toute cette chronique pour dire que lorsque des enfants sont ainsi arrêtés dans une école  pour de telles bagatelles, c’est toute une société qui doit se questionner sérieusement sur le sens de la vie et des valeurs !

Bloc le 26 mai 2009

Comments

[walkmindz]

Quand la violence est une norme sociale et une garantie économique, la cour de récréation devient un crash test idéal.
De l’enfant roi à la délinquance juvénile, tout est une question de fiche d’imposition.
Quand il y a des claques qui se perdent et des procès qui se gagnent, la loi parle pour la connaissance.
Entre les ayants droit de Jules Ferry en perdition et la tentation de l’inspecteur Harry, les mineurs cotisent pour leur majorité.
La suite ici :
http://souklaye.wordpress.com/2009/05/21/post-it-police-scolaire/